Synospsis :
Un tableau au sujet religieux rebattu est découvert par le sacristain de Corbeil-les-Sommes sur le seuil de sa maison. Comment ? Pourquoi ? Afin de faire ouvrir une enquête, l'homme interloqué décide d'avertir le commissaire de police. Un digne émule de Maigret qui, accompagné de son escouade, devra redoubler d'ingéniosité pour dénouer les fils de cette étrange affaire. Doté d'un humour subtil, d'un esprit érudit et d'une plume ciselée, l'auteur nous entraîne au coeur d'un récit haletant semé de références historiques et littéraires marquantes. Il élabore ainsi une composition enchevêtrée et habile au centre d'une machination rocambolesque épinglant les escrocs et faussaires de génie. Le tout rappelant combien un passé trouble permet d'élucider un présent énigmatique...
Mon avis :
Si j’ai la chance de pouvoir parler avec l’auteur je serai vraiment très heureuse, car j’ai quelques questions à lui poser sur son roman que j’ai trouvé enrichissant et traitant d’un certain nombre de sujets qui sont d’actualité. La plume de Jean Hubert Mabille est franche et subtil. Sans détour il pose cartes sur table en évoquant les défaillances du système Français que ce soit concernant les logements, la montée en flèche de la délinquance, l’éducation...etc.
Autre chose que j’ai apprécié, évidemment ce sont toutes les références à la grande et superbe Amélie Nothomb, mais pas seulement, l’auteur cite également des titres de films, des titres de chansons, tout ceux ci placé habillement tout au long du récit. N’oublions pas les jeux de mots, les calembours qui sont recherchés, ce roman ne manque ni de piquant, ni de sarcasme et encore moins d’humour !
Justement LE roman, parlons-en un peu plus, entrons dans l’univers burlesque d’une enquête mené par un commissaire, Max doté d’une intuition et d’un sens de l’observation aiguisé. C’est un personnage que j’ai beaucoup aimé.
Tout commence avec Félix le sacristain d’une église qui va un matin retrouvé devant sa porte un tableau biblique, avec un mystérieux mot dont ni lui, ni sa femme ne comprennent le sens. Après une longue discussion et divagation entre les époux, ils décident d’un commun accord de contacter la gendarmerie.
Parallèlement, une femme vivant à quelques kilomètres de là, contacte aussi le commissariat pour signaler un cambriolage à son domicile…
Ce mystérieux tableau à la signature illisible va alors soulever bien de nombreuses possibilités et interrogations sur le véritable artiste de celui ci. Si seulement il ne s’agit que de cela...mais quand il faut remonter à des générations, et que des prétendus descendants du peintre s’en mêlent, imaginez un peu l’embrouille !
Une intrigue bien construite, je me suis maintes fois demandée quel pouvait être le fin mot de cette histoire ? Jusqu’à ce que l’auteur avec parcimonie nous révèle le pot au rose….
Comme vous l’aurez compris, ce livre à été une très bonne lecture, je félicite l’auteur pour ces mots, ces sujets importants qu’il évoque sans détours. Celà resemble un peu à un coup de gueule, pardonnez cette expression mais voilà ce que je me suis dit en terminant les dernières pages.
La liberté d’expression c’est beau et précieux.
Merci aux éditions du Panthéon pour cet envoi de Service Presse.
Si j’ai la chance de pouvoir parler avec l’auteur je serai vraiment très heureuse, car j’ai quelques questions à lui poser sur son roman que j’ai trouvé enrichissant et traitant d’un certain nombre de sujets qui sont d’actualité. La plume de Jean Hubert Mabille est franche et subtil. Sans détour il pose cartes sur table en évoquant les défaillances du système Français que ce soit concernant les logements, la montée en flèche de la délinquance, l’éducation...etc.
Autre chose que j’ai apprécié, évidemment ce sont toutes les références à la grande et superbe Amélie Nothomb, mais pas seulement, l’auteur cite également des titres de films, des titres de chansons, tout ceux ci placé habillement tout au long du récit. N’oublions pas les jeux de mots, les calembours qui sont recherchés, ce roman ne manque ni de piquant, ni de sarcasme et encore moins d’humour !
Justement LE roman, parlons-en un peu plus, entrons dans l’univers burlesque d’une enquête mené par un commissaire, Max doté d’une intuition et d’un sens de l’observation aiguisé. C’est un personnage que j’ai beaucoup aimé.
Tout commence avec Félix le sacristain d’une église qui va un matin retrouvé devant sa porte un tableau biblique, avec un mystérieux mot dont ni lui, ni sa femme ne comprennent le sens. Après une longue discussion et divagation entre les époux, ils décident d’un commun accord de contacter la gendarmerie.
Parallèlement, une femme vivant à quelques kilomètres de là, contacte aussi le commissariat pour signaler un cambriolage à son domicile…
Ce mystérieux tableau à la signature illisible va alors soulever bien de nombreuses possibilités et interrogations sur le véritable artiste de celui ci. Si seulement il ne s’agit que de cela...mais quand il faut remonter à des générations, et que des prétendus descendants du peintre s’en mêlent, imaginez un peu l’embrouille !
Une intrigue bien construite, je me suis maintes fois demandée quel pouvait être le fin mot de cette histoire ? Jusqu’à ce que l’auteur avec parcimonie nous révèle le pot au rose….
Comme vous l’aurez compris, ce livre à été une très bonne lecture, je félicite l’auteur pour ces mots, ces sujets importants qu’il évoque sans détours. Celà resemble un peu à un coup de gueule, pardonnez cette expression mais voilà ce que je me suis dit en terminant les dernières pages.
La liberté d’expression c’est beau et précieux.
Merci aux éditions du Panthéon pour cet envoi de Service Presse.
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