Les Demoiselles de Beaune

Les Demoiselles de Beaune par Karine Lebert

Synopsis : 

Au XVe siècle, pour enterrer son douloureux secret, Balbine de Joinville va lier son destin à celui des hospices de Beaune. Un drame réaliste et sensible mêlant la petite et la grande Histoire.

Balbine de Joinville est religieuse aux hospices nouvellement fondés à Beaune. Elle a choisi de s'enfermer en ces lieux, l'année de ses dix-huit ans, pour cacher la honte d'avoir été violée. Elle y est demeurée par passion pour les herbes médicinales – une passion qui nourrit un talent de thérapeute qu'apprécie le médecin Maric Lambert, attiré par cette religieuse singulière. Du viol, perpétré par son oncle dans le château familial, une petite fille est née, Jeanne. Elle est élevée par le jardinier, non loin de sa cousine Alix, seule héritière des Joinville. Bien qu'elles ignorent ce qui les lie, une forme de rivalité s'installe entre elles. Tout les oppose : Alix renonce à un grand amour pour faire un mariage de prestige ; Jeanne devient chef d'une bande de brigands et disparaît peu à peu de la mémoire de ses proches. Jusqu'au jour où une blessure plus grave que les autres la conduit aux hospices de Beaune...

                         ✍✍✍✍✍✍✍✍ Mon Avis ✍✍✍✍✍✍✍✍

Enfin j'ai pu lire "Les Demoiselles de Beaune" de Karine Lebert. Second livre que je lis de cette auteure dont j'aime beaucoup le travail et l'écriture.

Dans ce roman on va d'étonnement et étonnement. Sincèrement lorsque j'ai lu le résumé, je ne m'attendais pas du tout à TOUS les évènements qui se déroulent au fil des pages, et surtout à cette fin là ! 
Comme pour 'Les Amants de l'été 44" qui est totalement différent, j'ai lu  avec une belle et savoureuse avidité. 
On découvre et suit Balbine, une petite fille curieuse, généreuse et docile qui grandit auprés de sa famille au cœur de Beaune. Marguerite sa mère, Achille son beau père ainsi que sa sœur Isabeau, et Jacquemin son frére. Un foyer tranquille, paisible, confortable où personne ne manque de rien. Chose rare au 15iéme Siécle !  
La construction d'un hôpital pour les pauvres démarre, le bâtiment va grandir en même temps que Balbine qui émerveillée observe les murs s'élever. Elle nourrit le rêve d'être une fois l'âge requis dame hospitalière afin de soigner les miséreux. 
Les années passent, Balbine s'épanouit, devenant une ravissante jeune fille de quinze ans. L'inauguration de L'Hôtel Dieu arrive, le coeur battant la jeune observe ceux qui ont la chance de pouvoir pénétrer ce lieu. Une rencontre ce jour là, celle de Guillaume de Joinville qui n'est autre que l'oncle de Balbine va bouleverser sa vie. Après l'accord de Marguerite, Balbine se rendra au Château de la Rochette pour parfaire son instruction, surtout celui concernant les plantes médicinales qui lui sera fort utiles d'ici quelques années. Balbine apprend dur, découvrant un monde aristocratique qui lui était totalement inconnu jusqu'à ce jour. 

À son arrivée, elle va rencontrer Andouin son second Oncle, ainsi que sa femme Hermione. Balbine vit sereinement, jusqu'au jour où l'horreur la frappe. Un drame qui va précipiter les évènements, son destin tout entier. 
Cependant elle fera face, avec courage, dignité et sagesse. Balbine est une guerrière pour moi. Sa vie ne sera qu'une suite de renoncements et de combats pour protéger ceux qu'elle aime. C'est puissant, tragique et beau. Voilà comment je resume cet incroyable roman. 

Le côté historique m'a beaucoup interessé et petite parenthèse, je compte bien visiter ce lieu afin de découvrir a mon tour ce lieux qui semble magnifique !

Je remercie beaucoup les éditions Presse de la Cité pour cet envoi de Service Presse.  


Ne partez pas maintenant , je vous invite a continuer en lecture mais cette fois çi, ce sera l'interview de Karine Lebert qui a gentiment accepté de répondre à mes questions ! 


       ✍✍✍✍✍✍✍✍ Interview ✍✍✍✍✍✍✍✍

1 - Commençons par le début. Pourriez-vous en quelques lignes vous présenter ? 

Je suis romancière depuis 2009, année durant laquelle j’ai été publiée pour la première fois avec « Nina et ses soeurs » aux éditions De Borée. A présent, je suis aux Presses de la Cité. Je suis née dans l’Orne mais j’ai vécu à Paris, en Picardie, puis à nouveau en Normandie. Toute jeune, j’ai travaillé dans le milieu médical avant de devenir biographe, correspondante de presse pour Paris Normandie, styliste déco pour Maisons Normandes. A présent, je me consacre à l’écriture et je vis à quelques kilomètres de Honfleur, Deauville et Trouville.

 2 - Comment en êtes-vous venue à l'écriture ? Est-ce une passion de toujours ? 

Oui, j’ai commencé à écrire dès que j’ai appris en fait! De petits textes avec des dessins sur le modèle de mes livres d’enfant. Comme je suis fille unique, je lisais beaucoup pour combler la solitude. De là est venu mon goût pour l’écriture. A part mes jeunes années dans le milieu médical, toutes mes activités ont d’ailleurs eu un lien avec l’écriture.

3 - Je vous ai découverte en lisant "Les amants de l'été 44", un roman absolument extraordinaire, l'histoire de deux femmes à deux époques différentes. Comment est né ce roman ? 

J’ai lu un article sur ces war brides, ces femmes qui ont épousé un GI et sont parties vivre aux Etats-Unis. Quel destin extraordinaire! Ces jeunes filles m’ont bouleversée, je trouvais qu’elles méritaient qu’on parle d’elles sous la forme d’un roman.

4 - Est-ce le premier livre que vous écrivez à "deux voix" ? Philippine d'un côté et Gemma de l'autre. 

Non, j’ai déjà écrit ainsi dans « Les brumes de Vouvray » et « Les ombres du palais ». J’adore lire des romans avec cette construction, je m’amuse beaucoup, alors attendez-vous à ce qu’il y en ait d’autres!

5 - Il y a dans ce livre forcément tout le sublime côté historique qui est très présent et fascinant, tout comme d'ailleurs "Les Demoiselles de Beaune". Ce côté historique est important pour vous ? Ou cela est le fruit du hasard ? 

J’aime l’Histoire, pas de doute. Mais je ne souhaite pas être prisonnière d’un genre et j’alterne : romans historiques, contemporains, terroirs, et même thriller pour le dernier « Les murmures du lac » paru chez France Loisirs. On a trop tendance à coller une étiquette aux romanciers, je fais en sorte de la décoller à chaque livre!

6 - Je suis vraiment impatiente de lire la suite de l'histoire "Des amant..." mais heureusement en attendant il y a bien d'autre livres de vous à découvrir ! Mon choix c'est récemment porté sur "Les Demoiselles de Beaune" , que j'ai lu en trois jours ! 
Votre personnage Balbine est incroyable, c'est une guerrière, faisant preuve tour à tour d'un courage immense et/ou d'une abnégation totale d'elle même, de ses pulsions, ses sentiments. D'où est venue la création de cette histoire, celle de Beaune et de cet Hôtel Dieu ? 

Tout simplement, j’ai visité les Hospices de Beaune et ce lieu emblématique m’a semblé un cadre propice pour un roman. Je pensais qu’un tel livre existait déjà, je l’ai cherché sans le trouver, alors j’ai décidé de l’écrire. « Les demoiselles de Beaune » est d’ailleurs en vente à la boutique des Hospices. J’aime le roman historique qui permet d’apprendre plein de choses tout en se délectant d’une lecture ludique. Il me semblait essentiel de parler des Hospices à leurs débuts, de leur construction. Balbine grandit en même temps et, bien sûr, elle deviendra dame hospitalière. On la suit jusqu’au crépuscule de sa vie alors que l’Hôtel-Dieu est toujours là pour des siècles et des siècles.

7 - Dans vos autres romans, vos personnages sont-ils tous essentiellement féminins ? 

Oui, absolument, même si les hommes sont présents aussi, gravitant autour des femmes et ayant même pour certains une place très importante. Néanmoins, je ne pense pas un jour écrire sur un héros, je n’en ai pas envie.

8  - Avez vous un auteur favori ou qui vous a marqué ? 

Plusieurs en fait : Stefan Zweig, je me souviens de « Ivresse de la métamorphose » qui m’a subjuguée, Doris Lessing parce que je connais bien l’Afrique du Sud où j’ai même vécu pendant six mois et fais d’innombrables allers/retours entre la France et Cap Town. Frances Mayes pour sa description de l’Italie et parce que le concept de maison me passionne, Tracy Chevalier et en particulier « La jeune fille à la perle » car les pays du Nord et cette époque me fascinent. J’en oublie mais la liste serait trop longue.

9 - J'ai lu qu'un de vos nouveaux romans était sorti " Les murmures du Lac" , de quoi parle -t-il ? 

C’est la première fois que j’écris un thriller. Le thème en est l’usurpation d’identité entre des jumelles. On suit Isaure qui a pris la place de sa soeur morte. Elle va devoir composer avec l’entourage de Lucille et même avec son nourrisson dont elle ne tardera pas à s’attacher comme s’il s’agissait de son propre enfant. Un inspecteur s’en mêle et jusqu’à la fin le lecteur se demande si Isaure se fera démasquer ou pas… ce que je vais bien me garder de dévoiler!

10 - Un petit mots pour vos lecteur(rices)

Que leur dire, sinon merci ? Merci de leur fidélité, de leur intérêt pour mes romans, de leurs petits mots dans ma boîte mails ou ma page Facebook. Je chéris les rencontres lors des dédicaces aussi qui ont concrétisé des échanges virtuels. Je savoure mon bonheur tous les jours : pouvoir exercer ma passion en toute liberté, sans contraintes, et en m’amusant.

La quête du trésor du Temple

La quête du Trésor du Temple par Jean d'Aillon

                                   Sorti le 30 AOUT 

Synopsis :

13 octobre 1307. Un convoi de trois chariots s'annonce au manoir de Vaux, en Normandie. Dans cinquante coffres de fer dissimulés sous des amas de paille se cachent le fabuleux trésor et les archives de l'ordre du Temple. Les faux charretiers, et vrais templiers, viennent les mettre à l'abri au fond d'une crypte secrète, avant de rejoindre leurs frères pour l'Angleterre.
Le grand maître de l'Ordre, Jacques de Molay, a désigné lui-même ces hommes de confiance. Parmi eux Robert de L'Aigle, jeune chevalier qui n'a pas encore prononcé ses vœux.
Depuis peu, les templiers sentent venir la disgrâce. On les accuse d'hérésie et d'idolâtrie, et le roi Philippe le Bel agirait de manière sournoise avec eux...
Robert de L'Aigle doit rentrer seul à Paris, pour rendre compte de sa mission.
Or la capitale pullule de traîtres à la solde de Nogaret, chancelier du roi, qui, déjà, a eu vent de la disparition du trésor.

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Aucun doute à avoir, Jean d'Aillon est incontestablement un auteur de grand talent pour écrire des romans historiques ! 
Du coup, je me suis un peu renseignée sur ses autres romans qui sont extrêmements nombreux, mais j'ai réussi à en retenir deux que je suis impatiente de découvrir, et d'ici quelques semaines vous en parler.

Jean d'Aillon nous transporte en 1307 de Paris a l'Angleterre dans une course frénétique, haletante nous remplissant d'impatience tant on veut découvrir la fin !  
L'auteur ne laisse rien au hasard, des pages authentiques, que ce soit concernant le langage, les descriptions de vêtements, de nourriture, de l'oraganisation hiérarchique royale ou rurale comme des Argots, tout y est et parfaitement détaillé ! Les décors, l'atmosphére, tout est en place pour nous changer de Siécle ! 

   L'histoire commence par une fuite. Celle de  50 coffres de fer transportant les archives, ainsi que l'or intégral des Templiers ! Parmi eux un chevalier de confiance pour Jacques de Molay, grand maître de l'Ordre, le jeune Robert de l'Aigle. Un homme droit, loyal, courageux et vraiment ingénieux !
   De retour de Normandie, Robert apprend alors le drame que subissent les templiers, arrestations, tortures (certaines que je ne connaissais pas et qui sont vraiment horribles! ) afin de découvrir où se trouve l'or de l'Ordre dont le Roi endetté a cruellement besoin.
Le roi de France, Philippe le Bel découvre qu'un homme pourrait lui révéler cette information capitale. Une récompense est offerte pour sa capture, forcément la trahison est de mise mais pour des gens vivant dans une pauvreté extrême cela ne pose aucun probléme. La conscience au placard. Une traque infernale se met alors en place entre les gens du Roi et Robert de l'Aigle.
Notre chevalier égaré, pourchassé va croiser la route d'un dénommé Coquillard, un truand mais pas n'importe lequel...
Au fil de l'histoire, Robert va savoir s'entourer de compagnons de confiance pour l'aider à mener à bien son ultime mission. Protéger le secret des Templiers et bien plus encore...


Cette lecture fût vraiment enrichissante, j'ai beaucoup aimé le rythme que l'auteur met en place. Un grand Bravo et un immense merci pour ce récit historique fabuleux !

Je remercie les éditions Presse de la Cité pour cet envoi de Service Presse. 

Maria de la lande

Maria de la lande par Bernard Duporge

Synopsis :

Maria aime la quiétude de la lande. Elle aime y rencontrer François, le berger solitaire, fils du bossu et risée du village. Mais Félicien, son père hargneux et rusé, a des vues sur la mairie aux prochaines élections et, dans ce but, a promis sa fille a Jacques, le fils bagarreur de l'adjoint au maire. Alors que Maria résiste à ce mariage arrangé, son père l'envoie en pension pour l'éloigner de François....

                      ⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥ Mon Avis ⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥⤥

Je dois dire que côté lecture en ce moment j'ai beaucoup de chance puisque depuis plusieurs semaines la plupart de mes chroniques sont très positives !
Maria de la lande a été un réel plaisir à lire. Ce roman vous aère l'esprit, cette lande m'a fait rêver et voyager. En lisant le résumé, on en apprend beaucoup, même un peu trop d'ailleurs à mon gout. Cela dit l'auteur a réussi malgré tout à me surprendre par son récit haletant et intriguant. On passe d'une ambiance à une autre, d'un personnage odieux à la gentillesse incarnée. Il y a beaucoup de contraste dans ces pages, c'est doux et dur à la fois. Plusieurs thématiques sont abordées et traitées avec franchise. La jalousie, la vanité, la loyauté..etc. 


François, un homme solitaire et discret mène sa vie à travers la lande où il exerce le métier de berger. Loin de son village, il parcourt une terre sauvage auprès de ses bêtes. 
Depuis des années sa famille est au cœur des plus cruelles médisances. Tout a commencé avec sa grand-mère, qui mit au monde un bossu. Marcel dont le père reste inconnu. Cette femme passera pour une femme facile et subira de vilaines insultes tout au long de sa vie. 
Les attaques se porteront sans cesse sur eux. L'existence de François est calme, il vit simplement et parfaitement heureux loin des ragots et calomnies.
Une révélation va tout faire basculer, transformant son quotidien en véritable enfer. L'amour en est la cause, celui de la belle Maria promise à un autre. Cet amour déclenchera l'horrible colère du père de Maria a l'encontre du "fils du bossu", considéré comme indigne du rang de cette famille. 
Le hasard fera rencontrer à François un personnage qui le conduira quelques temps plus tard sur le chemin d'un pèlerinage. En accomplissant ce périple, il espère trouver des réponses, et surtout une solution pour résoudre ses problèmes.
A ces côtés on sourit, on s'interroge, on réfléchit, serre les dents, on a le cœur qui palpite, subissant beaucoup d'émotions. 

C'est bien plus qu'un livre, derrière il y a un message important a retenir, une leçon de vie je dirais même. La méchanceté détruit tout, les ragots peuvent provoquer de dangeureux cataclysmes et conduire a la folie. 


Oui je suis ravie et conquise par cette lecture, c'est certain ! Je vous encourage à lire ce roman. 

Merci et Bravo à l'auteur Bernard Duporge. Je suis impatiente de lire ses autres romans. 

Merci aux éditions De Borée pour cet envoi de Service Presse. 

Hôtel Waldheim

Hôtel Waldheim de François Vallejo

Synopsis : 

À l’entendre, j’étais très fort, à seize ans, pour tout effacer, et ça continue. Pourtant, à force de déblatérer sans réfléchir, j’ai commencé à lui prouver et à me prouver que je me suis fourré dans de drôles de situations. Si quelqu’un m’avait dit hier : tu t’es comporté comme le pire voyeur, pour surprendre un couple dans son lit, je ne l’aurais pas cru. C’est revenu tout seul, devant cette fille dans son fauteuil. Je sentais son souffle sur ma peau, incroyable ce qu’elle m’insuffle. Presque malgré moi, j’ai reconstitué la scène oubliée. Et d’autres. Elle va finir par me convaincre que je lui cache quelque chose. Que je me cache quelque chose ? Comme l’impression de rencontrer un inconnu qui s’appellerait Jeff Valdera. Et dans le genre inconnu, elle se pose là aussi, avec ses questions insistantes…
Lors de ses séjours avec sa tante à Davos, à l’hôtel Waldheim, l’adolescent Jeff Valdera n’aurait-il été qu’un pion sur un échiquier où s’affrontaient l’Est et l’Ouest au temps de la guerre froide ?

Inventer sa mémoire ou inventer sa vie ? C’est la question à laquelle tente de répondre François Vallejo avec Hôtel Waldheim, son roman le plus intime. 

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François Vallejo est incontestablement un auteur de talent ! Grâce aux éditions Viviane Hamy, j'ai pu découvrir la plume sombre et attrayante de cet écrivain aux mots touchants et parfois troublant.
Ce roman est une spirale qui aspire totalement le lecteur dans un univers aux multiples facettes, ce qu'on croit être une simple histoire de souvenirs est bien plus en réalité, ce qu'on pense être un couple banale est d'avantage...etc.

Tout commence le jour où Jeff Valdera reçoit a son domicile une carte postale avec inscrit dessus une phrase très énigmatique : " ça vous rappel queqchose ?"Evidemment pas la moindre signature ! Qui parle et écrit ainsi ? Aucun n'indice qui puisse mettre la puce à l'oreille sur le destinataire de cette vieille carte. Jusqu'à ce que Jeff observe d'un peu plus près le tampon d'expédition. Zurich, Suisse.
Jeff reconnaît rapidement les images, il s'agit de Davos, un lieu où il se rendait un mois par an en vacances avec sa tante Judith dans les années 1970 et ceux trois années de suite.
Un violent et renversant trouble s'empare de notre personnage? Qui lui a adressé cette carte ? Dans quel but ? De toute évidence lui faire remonter ses souvenirs, mais pourquoi ?
Il décide de l'ignorer, jusqu'à ce qu'une deuxième carte n'arrive et le conduise cette fois çi en Suisse, sur les traces de son passé qui va le mener à une rencontre, une rencontre auquelle il ne se serait jamais attendu et pourtant...

A partir de cet instant, nous entrons aux côtés de Jeff dans ses souvenirs d'adolescent.
Nous remontons le temps pour découvrir l'Hôtel Waldheim, le patron de celui çi Herr Meili, un ancien professeur d'histoire, un homme accueillant serviable et attentif à tous ses clients...
Autour de ses deux personnages, en gravitent bien d'autres dont un couple peu sociable, les Linek. Une vieille dame Esther Finkel, fidèle admiratrice de l'écrivain Thomas Mann et Steigl l'ami intime de Herr Meili. En surface tout semble plat, lisse, et puis des éléments surgissent les uns après les autres, comme des pièces de puzzle, on cherche, on piste avec Jeff pour comprendre le fond de ce qui s'est réellement passé en ce mois D'Aout et quel a été véritablement son rôle à lui ?

N'a t il été qu'un pion ? Ignorait-il vraiment ce qui se déroulait sous ses yeux ?

Ce roman est juste fabuleux ! Du début à la fin on est comme suspendu à la pointe de la plume de l'auteur. C'est haletant ! Je ne peux que vous encourager à découvrir cet incroyable livre dont l'histoire ne vous laissera pas indifférent !

Je ne peux que vous encourager a le lire afin de découvrir le talent de ce grand Auteur ! 


La sortie de ce roman est prévue pour le 30 AOUT, noté bien cette date et faites-vous plaisir ! 

Je remercie les éditions Viviane Hamy pour leur confiance et cet envoi de Service Presse.

Comment j'ai rencontré l'empereur

Comment j'ai rencontré l'empereur de Alain Gardella

Synopsis : 

Au détour d'un pari douteux fait lors d'une soirée trop arrosée, le gouailleur Sébastien Perroni se retrouve devant un mystérieux coffret aux propriétés pour le moins singulières : à peine en a-t-il soulevé le couvercle qu'il se retrouve projeté en pleine bataille napoléonienne ! Notre héros désireux de rentrer chez lui n'est pas au bout de ses surprises... car l'Empereur n'est pas loin. Voyage dans le temps aux atours rocambolesques et narré par un héros attachant à la langue bien pendue, ce récit mêle humour désopilant et sens aigu de la péripétie invraisemblable. Ses missions en tant qu'infirmier militaire, associées à ses voyages privés ont mené plusieurs fois Alain Gardella de l'Afrique à l'Asie. Aujourd'hui infirmier libéral, il signe un premier roman drôle et fantastique, qui nous fait voyager... à travers le temps.

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Malheureusement concernant ce livre, je n'ai pas du tout accroché !
Mis à part quelques passages humoristiques, j'ai trouvé le récit, les dialogues, et les actions répétitifs. Le langage est à mon gout trop vulgaire. Ca m'a vraiment dérangé. La langue française est totalement massacrée. 

   L'histoire démarre avec Sébastien Perroni qui lors d'une beuverie avec ses copains accepte un pari délirant. Celui de se faire enfermer pendant 24h a l'intérieur des murs de L'Elysée. Grâce à un coup de chance énorme, il réussit le pari en se retrouvant dans une des caves du Palai. Pour être plus précise, notre personnage se trouve dans un renfoncement, derrière une grille bien à l'abri. Forcément son intrusion est vite remarquée. L'alarme déclenchée, un déploiement d'agents de sécurité se met rapidement à l'action ! 
Sébastien entend, observe le défilé des jambes à quelques mètres de lui, alors qu'il cherchait une position un peu plus confortable, sa main rencontre un objet. Un coffre. Poussé par la curiosité de cet objet et surtout de son emplacement étrange, il décide de l'ouvrir...

   A partir de cet instant là, tout bascule et nous sommes entrainés aux côtés de Sébastien dans une sucession de voyages temporels. Notre bonhomme va se retrouver sans le vouloir avec un compagnon de route loin de passer inaperçu. Napoléon ! AH ! Entre les deux hommes, c'est souvent la discorde, et pour cause, comment s'entendre alors qu'ils viennent de deux époques différentes ? L'un est terrorisé et l'autre prêt sans arrêt à en découdre avec son épée ! 
Ensemble donc, ils vont traverser différentes époques, et affronter des situations diverses et variées.
Il y a un point fort dans ce roman, c'est le côté historique, cela m'a plu et permet une petite révision par la même occasion.

Bravo à l'auteur en tout cas, même si ce n'est pas un coup de cœur, je ne regrettte absolument pas de l'avoir lu.

A travers ces lignes on voit bien qu'il y a de nombreuses connaissances dont Alain Gardella nous fait profiter ! Alors MERCI !

Je remercie les Editions Panthéon pour cet envoi de Service Presse.