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mardi 23 juillet 2019

Radiophobie

Radiophobie
Par : Noémie EREL

Synopsis :
Dans une société où tous sont à l’écoute et communiquent à travers leurs postes radio, des enregistrements sont confiés à une jeune journaliste en recherche de sujets percutants pouvant lancer sa carrière. L’hypnose provoquée par les enregistrements et un quiproquo la persuadent d’une conspiration. Radiophobie est une comédie déjantée évoquant les dérives d’internet, caricature s’inspirant de l’univers d’Alfred Hitchcock et d’Orson Welles, sous forme de sketches radiophoniques. 
Une histoire d’espionnage, de complot et de canulars, truffée de diverses références cinématographiques, littéraires ou musicales, en concordance avec les sujets abordés, comme L’homme qui en savait trop et La mort aux trousses d’Alfred Hitchcock, ou encore Videodrome de David Cronenberg, clin d’œil renforçant la confusion du personnage principal : s’imagine-t-il vivre des péripéties dignes des plus célèbres histoires d’espionnage ?

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Là je dois dire que rédiger une chronique pour parler du roman de Noémie EREL va être dur, dans la mesure où je n'ai absolument rien compris ! Ces pages sont sans queue ni tête. 

Dans ce récit le personnage principal est une jeune femme, journaliste discrète, Justine Forhwall alias Faustine qui rencontre dans un bar une femme dont on ne sait rien et qui va lui remettre une enveloppe contenant un enregistrement. 
Un enregistrement loufoque, suite à l'écoute de cette cassette, des dialogues se succèdent. Des dialogues ennuyeux et franchement abracadabrant, décousue. Les gens communiquent par des radios, ok soit mais pourquoi ? Aucune idée. Il y a une menace visiblement, Justine devient l'ennemi numéro 1 parce qu’apparemment elle a tenté de soulever le peuple. Sérieusement en terminant je me suis interrogé " Comédie déjantée" ? A quel moment fallait-il rire ?
Je n'ai pas du tout accroché avec cet univers.

La fin laisse à supposer qu'en réalité Justine Forhwall souffre de troubles mentaux, schizophrénie peut-être ? Aucune idée. 

Merci aux éditions La Bruyère pour cet envoi de Service Presse.  

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