Synospsis :
La jeunesse de Simon, petit juif marocain, est placée sous le signe de la douceur, de la volupté féminine et de la joie de vivre. Les amies de sa mère, les voisines du quartier, toutes rivalisent d’attentions et de tendresse pour ce petit garçon aux boucles blondes, une espèce rare au Maroc ! À 10 ans il est propulsé dans une banlieue parisienne où la grisaille et la morosité vont remplacer le «?nirvana permanent dans lequel il vivait?». Nous suivons pas à pas le long périple de la vie tumultueuse de Simon, parsemée de passions et de contrariétés, au travers de cette recherche permanente de l’amour. Cet antihéros qui ira jusqu’à caricaturer sa propre quête, prenant un malin plaisir à parodier sur les planches ses propres aventures amoureuses sans oublier de singer la grande prêtresse de ses tourments amoureux, Julie, mère juive dans toute sa splendeur, possessive à souhait et pierre d’achoppement sans doute de toutes ses investigations sentimentales.
Mon avis :
Un
début de lecture difficile je l’admets ! J’ai vraiment eu du mal
à ne pas abandonner tant le début est choquant ! Alors je ne sais
pas si cette histoire est tirée de faits réels ? Si oui , j’en
suis bien triste.
Pourquoi ? Je vais m’expliquer.
Pourquoi ? Je vais m’expliquer.
Ce
récit basé donc sur l’enfance et la jeunesse de Simon un enfant
très beau, va grandir d’une façon loin d’être saine (de mon
point de vue), l’avis d’autre lecteurs(rices) sont les bienvenus
bien sûr.
Dans le résumé l’auteur parle de volupté féminine moi je dirais plutôt de la pédophilie clairement !Quand des femmes pratiquent un streap tease devant un enfant de cinq ans pour ensuite s’exhiber totalement nues en tournant cela sous forme de jeu...Sans parler des caresses, des siestes coquines, les séances de hammam où là idem, Simon est entouré de son harem de femmes nues qu’il tripote sans la moindre gêne...une mère au courant et fière du succès de son bambin auprès de la gente féminine ! Simon est « un instrument » , je cite l’auteur. Bon vrai ou pas j’étais vraiment tendue et en rogne pendant de nombreuses pages. Et puis l’histoire avance, Simon grandit, et là l’auteur met en avant au fil des pages les répercussions de son enfance peu commune sur sa vie d’adulte et forcément ses relations chaotiques avec les femmes.
Dans le résumé l’auteur parle de volupté féminine moi je dirais plutôt de la pédophilie clairement !Quand des femmes pratiquent un streap tease devant un enfant de cinq ans pour ensuite s’exhiber totalement nues en tournant cela sous forme de jeu...Sans parler des caresses, des siestes coquines, les séances de hammam où là idem, Simon est entouré de son harem de femmes nues qu’il tripote sans la moindre gêne...une mère au courant et fière du succès de son bambin auprès de la gente féminine ! Simon est « un instrument » , je cite l’auteur. Bon vrai ou pas j’étais vraiment tendue et en rogne pendant de nombreuses pages. Et puis l’histoire avance, Simon grandit, et là l’auteur met en avant au fil des pages les répercussions de son enfance peu commune sur sa vie d’adulte et forcément ses relations chaotiques avec les femmes.
On
découvre que derrière la façade du petit comique, de l’acteur,
de théâtre se dissimule de nombreuses blessures, de grandes
souffrances.
Plusieurs narrateurs au cours du récit , tantôt Simon , ensuite Momo son fidèle ami et Dorya.
Grâce à Momo et Dorya on apprend à connaître d’autres facettes de Simon une autre image, bien loin de celle que lui cherche à renvoyer. A partir d’un certain moment, il faut prendre du recul sur l’histoire, et s’interroger sur l’ensemble du livre. Quel était le but de Norbert Mouyal ? Montrer l’impact que l’enfance peut avoir sur notre futur ? Qu’une mère peut vous aimer follement et vous détruire à la fois ? Parce que pour moi Julie, la maman de son mal être.
Plusieurs narrateurs au cours du récit , tantôt Simon , ensuite Momo son fidèle ami et Dorya.
Grâce à Momo et Dorya on apprend à connaître d’autres facettes de Simon une autre image, bien loin de celle que lui cherche à renvoyer. A partir d’un certain moment, il faut prendre du recul sur l’histoire, et s’interroger sur l’ensemble du livre. Quel était le but de Norbert Mouyal ? Montrer l’impact que l’enfance peut avoir sur notre futur ? Qu’une mère peut vous aimer follement et vous détruire à la fois ? Parce que pour moi Julie, la maman de son mal être.
Norbert Mouyal a son style et c’est très bien comme ça, il faut connaître que ce qu’il a écrit, il fallait oser l’écrire. Certes certains ont écrit bien pire, j’ai lu bien pire, peut-être pas concernant ce genre de relations entre un enfant et et des femmes d’âges mûres. Je pense que mon instinct de maman a fait beaucoup aussi….
Je félicite l’auteur pour ce premier roman.
Je remercie les éditions Vérone pour cet envoi de Service Presse.
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