Synopsis :
Éric, Baptiste, Henri, Annette, Louis et Hélène, six enfants âgés de 4 à 6 ans, partagent une destinée à fendre l’âme. Tous issus de parents décédés ou défaillants, ils se voient placés dans une famille d’accueil commune et maltraitante. Pour ne pas mourir de chagrin, ils créent un lien proche de celui du sang, qui n’existe que par leur seule volonté. Ils se décrètent frères, mettent leurs larmes dans leur poche, et un mouchoir par-dessus. Ils vivent mille histoires, tristes ou joyeuses, et font un vœu. Pour le voir se réaliser, ils sont prêts à tous les sacrifices.
« Mon Dieu, je ne comprends pas pourquoi ma mère est morte le jour où je suis né, et je ne comprends pas pourquoi la maladie a tué mon papa. Il était si gentil et je l’aime tant… je t’attends. J’ai rempli ma valise. J’ai pris un pyjama, un pantalon, un tricot, une paire de chaussettes, une culotte… et mes livres. Sans eux, mon gentil Dieu, je serais parti avec mon père. Mais j’avais trop peur de la mort… aujourd’hui je me tiens prêt. »
Les jours passèrent… et Baptiste posa ses valises, ses chagrins, ses espoirs et tout le reste, à côté de ceux d’Éric…
À l’âge adulte, ils ont décidé de raconter leur histoire.
« Mon Dieu, je ne comprends pas pourquoi ma mère est morte le jour où je suis né, et je ne comprends pas pourquoi la maladie a tué mon papa. Il était si gentil et je l’aime tant… je t’attends. J’ai rempli ma valise. J’ai pris un pyjama, un pantalon, un tricot, une paire de chaussettes, une culotte… et mes livres. Sans eux, mon gentil Dieu, je serais parti avec mon père. Mais j’avais trop peur de la mort… aujourd’hui je me tiens prêt. »
Les jours passèrent… et Baptiste posa ses valises, ses chagrins, ses espoirs et tout le reste, à côté de ceux d’Éric…
À l’âge adulte, ils ont décidé de raconter leur histoire.
🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀Mon Avis 🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀🍀
Un roman poignant, terriblement cruel et sombre. Cependant, parmi toute cette noirceur, une étincelle, un espoir va naître, grandir et lutter pour percer à travers cette épaisse brume offrant la possibilité d’un horizon, un avenir plus lumineux et heureux.
Cette étincelle en surface forte mais dans le fond extrêmement fragile et sensible s’agit « Du vœu ».
Un serment proclamé et liant six jeunes enfants se retrouvant placés dans une famille d’accueil.Eric, Baptiste, Henri, Annette, Louis et Hélène. Six âmes blessées, égarées, et à la recherche d’amour.
Leurs tuteurs Jacques, un homme diablement cruel, pervers, et horriblement violent aura pour seul plaisir de maltraiter ces enfants. Angélique, maniaque, dépressive, soumise et battue par son mari va faire en sorte de faire régner le calme et la discipline sous son toit. Grâce au ciel, elle n’est pas cruelle, mais maltraita à sa façon malgré tout ces six enfants, unis. Cette union sera leur force.
Eric, un enfant d’une grande intelligence sera le premier arrivé dans ce foyer des ténèbres. Orphelin, se sentant désespérément seul, il trouvera refuge dans les contes et l’école. La solitude persistera jusqu'à l’arrivée de Baptiste qui a tout juste quatre ans. Eric le prendra sous son aile, un lien très fort va se créer et Eric promet de toujours protéger ce « faux-frère » au péril de sa propre vie. C’est un amour doux et magnifique. Apaisant et rassurant.
Au fil des mois quatre autres enfants vont venir compléter leur fratrie. Du haut de leur petites tailles, nos mousquetaires vont faire tous ensemble ce Voeu. Celui une fois adultes de tous vivre ensemble, de ne jamais se quitter. Est ce seulement possible ? Quel sera leur avenir ? Leur plus grande angoisse sera forcément d’être séparés les uns des autres et on peut le comprendre.
L’auteure soulève là avec sensibilité et fermeté les nombreux problèmes et le manque de temps et d’intérêt des services sociaux aux besoins de ces enfants.
Au fil des pages, nous suivons avec une boule au ventre le quotidien malheureux de ces enfants, qui ne sont heureux qu’à l’école. C’est leur refuge, leur moment où ils peuvent être insouciants, libre de parler de rire, de s’exprimer totalement ! Chacun d’eux a sa propre personnalité, son vécu, et tous ont une particularité qui fait qu’on s’attache sans même s'en rendre compte. On veut les protéger, nous aussi.
Je n’entre pas plus, car je ne veux pas révéler toute l’histoire et puis, c'est un récit qu’il faut lire totalement, le cœur ouvert en grand. Alors OUI ça fait très mal, je ne le cache pas. Mon cœur d’être humain et surtout de maman a eu beaucoup de peine à ne pas abandonner face à tant de violences. C’est dur d’ouvrir les yeux et de constater que OUI cela existe vraiment et que malheureusement notre système reste impuissant, et sans doute un peu sourd aux destins de tous ces petits être humains dont l’avenir est barbouillé d’incertitude. J’éspère vraiment que dans les années à venir, ça évoluera dans le bon sens.
C’est bien beau d’investir des milliards dans le changement des panneaux de circulation, et c’est bien plus facile (aussi). Je ne vais pas tout confondre, mais voilà je pense qu’il y a forcément des solutions pour protéger et aider tout ce monde là.
J’ai eu la chance de pouvoir discuter avec l’auteure, et j’ai découvert une femme d’une profonde gentillesse, cultivée et très humaine. Arminda Fernandes a accepté de répondre a quelques questions. Des questions qui se sont transformées en conversation un peu, mais cela a été un vrai plaisir. Je vous laisse découvrir ci dessous cet entretien.
Cette étincelle en surface forte mais dans le fond extrêmement fragile et sensible s’agit « Du vœu ».
Un serment proclamé et liant six jeunes enfants se retrouvant placés dans une famille d’accueil.Eric, Baptiste, Henri, Annette, Louis et Hélène. Six âmes blessées, égarées, et à la recherche d’amour.
Leurs tuteurs Jacques, un homme diablement cruel, pervers, et horriblement violent aura pour seul plaisir de maltraiter ces enfants. Angélique, maniaque, dépressive, soumise et battue par son mari va faire en sorte de faire régner le calme et la discipline sous son toit. Grâce au ciel, elle n’est pas cruelle, mais maltraita à sa façon malgré tout ces six enfants, unis. Cette union sera leur force.
Eric, un enfant d’une grande intelligence sera le premier arrivé dans ce foyer des ténèbres. Orphelin, se sentant désespérément seul, il trouvera refuge dans les contes et l’école. La solitude persistera jusqu'à l’arrivée de Baptiste qui a tout juste quatre ans. Eric le prendra sous son aile, un lien très fort va se créer et Eric promet de toujours protéger ce « faux-frère » au péril de sa propre vie. C’est un amour doux et magnifique. Apaisant et rassurant.
Au fil des mois quatre autres enfants vont venir compléter leur fratrie. Du haut de leur petites tailles, nos mousquetaires vont faire tous ensemble ce Voeu. Celui une fois adultes de tous vivre ensemble, de ne jamais se quitter. Est ce seulement possible ? Quel sera leur avenir ? Leur plus grande angoisse sera forcément d’être séparés les uns des autres et on peut le comprendre.
L’auteure soulève là avec sensibilité et fermeté les nombreux problèmes et le manque de temps et d’intérêt des services sociaux aux besoins de ces enfants.
Au fil des pages, nous suivons avec une boule au ventre le quotidien malheureux de ces enfants, qui ne sont heureux qu’à l’école. C’est leur refuge, leur moment où ils peuvent être insouciants, libre de parler de rire, de s’exprimer totalement ! Chacun d’eux a sa propre personnalité, son vécu, et tous ont une particularité qui fait qu’on s’attache sans même s'en rendre compte. On veut les protéger, nous aussi.
Je n’entre pas plus, car je ne veux pas révéler toute l’histoire et puis, c'est un récit qu’il faut lire totalement, le cœur ouvert en grand. Alors OUI ça fait très mal, je ne le cache pas. Mon cœur d’être humain et surtout de maman a eu beaucoup de peine à ne pas abandonner face à tant de violences. C’est dur d’ouvrir les yeux et de constater que OUI cela existe vraiment et que malheureusement notre système reste impuissant, et sans doute un peu sourd aux destins de tous ces petits être humains dont l’avenir est barbouillé d’incertitude. J’éspère vraiment que dans les années à venir, ça évoluera dans le bon sens.
C’est bien beau d’investir des milliards dans le changement des panneaux de circulation, et c’est bien plus facile (aussi). Je ne vais pas tout confondre, mais voilà je pense qu’il y a forcément des solutions pour protéger et aider tout ce monde là.
J’ai eu la chance de pouvoir discuter avec l’auteure, et j’ai découvert une femme d’une profonde gentillesse, cultivée et très humaine. Arminda Fernandes a accepté de répondre a quelques questions. Des questions qui se sont transformées en conversation un peu, mais cela a été un vrai plaisir. Je vous laisse découvrir ci dessous cet entretien.
Première question (toute simple).
Pouvez-vous un peu vous présenter, quel est votre parcours ?
Je me suis mariée relativement jeune, à 19 ans et suis
devenue mère pour la première fois à 20. J'ai eu en premier
diplôme un BEP de comptabilité et informatique. J'ai repris mes
études à 28 ans, j'ai fait des études de droit et ai validé
une capacité en droit.
Quel beau parcours ! "Le vœu"
est votre premier roman. Comment est il né ?
Oui, il est mon premier roman et j'ai déjà débuté de
deuxième...Le Voeu raconte à travers les six enfants un peu de
mon histoire personnelle, je me suis également inspirée de tout
ce que j'ai pu lire sur l'enfance maltraitée.
C'est un sujet qui vous tient visiblement
très a cœur et qui est écrit d'une manière du moins d'après
mon point de vue, de façon très instinctive.
J'ai connu les malheurs liés à l'enfance maltraitée, et j'en
ai terriblement souffert. Mais je me suis battue pour ne pas
sombrer dans une peine qui ne verrait jamais de fin. J'ai
rencontré la littérature, elle m'a permis de comprendre un tas
de choses, elle m'aida dans mon rôle d'abord d'être humain, de
femme puis de maman. elle m'a tout appris, tout donné et ne me
demandait et ne me demande encore aujourd'hui, pas grand choses.
Le sujet des enfants maltraités me touche profondément, car j'en
ai assez d'entendre à la radio, je ne regarde plus la télé,
qu'un enfant est encore mort sous les coups d'un parent, et pire
encore, si on peut dire, la plupart du temps, ce pauvre petit
était connu des services sociaux, la famille sait, les voisins
savent mais tout le monde se tait.
Je suis bien d'accord. Et c'est pour cela
que j'ai tant aimé votre livre. C'est un coup de pieds dans la
fourmilière. Il faut que cela change. Comment imaginer
l'inimaginable ? C'est bien plus facile de faire l'autruche et de
regarder la cruelle véritée en face.
Si j'ai choisi un roman à 6 voix c'est qu'à ma connaissance,
c'est la première fois qu'on romance l'enfance maltraitée avec
des histoires qui sont quasi réelles. En France il y a 100 000
enfants placés, l'état n'alloue pas suffisamment d'argent pour
aider ces pauvres enfants, et les familles d'accueil sont de plus
en plus rares...il délègue comme il le fait pour l'instruction
scolaire, sa tâche à des institutions privées...pas de contrôle
ou que trop peu. un reportage zone interdite en 2017 montrait bien
des enfants placés à des âges parfois très jeunes, et à 18
ans ces gamins sans repère, on les mettait à la porte. C'est
atroce de penser qu'un enfant puisse tant souffrir dans
l'indifférence de tous…
Dans quel domaine travaillez vous dans
le droit ?
Je n'ai jamais pu exercer dans le domaine juridique, j'ai
commencé comme secrétaire juridique tout en validant mon premier
semestre de deug de droit, puis très vite très fatiguée, j'ai
du me rendre à l'évidence. j'ai occupé un poste de secrétaire
aide comptable à mi-temps, pendant 15 ans. j'ai tenu à élever
mes quatre enfants de leur offrir tout ce dont j'avais rêvé dont
j'avais été privé...Et puis un jour, à 40 ans, sans éclat de
violence ,sans bruit et presque sur la pointe des pieds, j'ai
quitté le père de mes enfants. J'ai changé totalement de
métier, et je suis devenue assistante de vie auprès de personnes
très âgées. Auprès de ces adorables personnes, l'idée
d'écrire c'est fait de plus en plus forte, et en 2015, j'ai
décidé de tenter l'aventure. ça été dur, très dur.
L'abnégation, le travail, et l'apprentissage de la langue de
Molière, furent mes maîtres. mais j'étais et suis tellement
heureuse de voir le résultat…
Effectivement c'est un chamboulement extrême. C'est une belle
preuve d'humanité que d'offrir votre temps a ces personnes âgées.
En parlant littérature, avez vous un auteur favoris ?
Albert Camus, Victor Hugo, Guy de Maupassant, Emile Zola,
Balzac, Flaubert, Antoine de Saint-Exupéry enfin tous les
classiques que l'on déteste souvent à l'école, et que l'on
finit avec l'âge par aimer car on les comprends mieux. Dans les
écrivains contemporains, je n'ai pas d'auteurs préférés, même
si j'ai un faible pour David Foenkinos et Jean-Christophe
Rufin...j'ai des coups de coeur pour des romans. et je lis
énormément tout en écrivant, j'ai besoin de lire les autres...
Nous avons beaucoup de points communs concernant la
littérature. Victor Hugo je n'ai encore rien lu. J'ai "Notre
Dame de Paris" depuis quelques mois qui m'attends.
Ce chef d'oeuvre, Victor Hugo a commencé sa rédaction le 1er
septembre 1830 et l'a achevé vers le 15 janvier 1831, quel
exploit littéraire, quelle merveille, quel talent.
Je voue un culte à Victor Hugo et à Albert Camus.
J'aime beaucoup Albert Camus, ils ont récemment publié
l'intégral de sa correspondance avec Maria Casares. Je rêve de la posséder!
Albert Camus, je l'aime beaucoup ! Je rêve de posséder sa correspondance intégral avec Maria Casares publié récemment.
La correspondance de Camus avec celle qui fut longtemps son
amante, est sublime...l'amour dans tous ses états, l'amour dans
ce qu'il offre de plus beau.
Quels sont vos passe-temps favoris ?
A part la lecture et l'écriture, j'adore cuisiner, faire de
longues promenades dans les forêts et passer du temps avec les
gens que j'aime, faire des choses simples de la vie.
Vous me disiez écrire votre deuxième roman, sur quoi porte
t-il ?
Sur la vie encore...j'ai participé à un concours littéraire,
qui imposait une nouvelle écrite sur 5 pages maxi, et devait
commencer par pourquoi s'en faire une montagne, j'ai adoré la
forme d'écriture qu'est la nouvelle. Et depuis, j'en ai écrit
7...Elles mettent toutes en scène des moments volés à des
personnages dans une vie banale ou extraordinaire. Le plus dur,
c'est la chute...je la travaille toujours, car je désire
surprendre mon lecteur, stopper le récit au moment où il s'y
attend le moins et le surprendre avec une fin très
inattendues...j'adore, c'est très dur, mais j'adore..
L'amour ,la vieillesse, la pauvreté, les excès de notre
société, l'instinct maternelle, et l'enfance encore, sont
abordés.
Quelle merveilleuse idée ! Je suis impatiente de vous lire a nouveau en tous cas !
Dans votre livre "Le Vœu" avez vous certains traits
de caractère avec un des six personnages ?
Oui, avec Eric c'est sa croyance indéfectible en Dieu et aux
gens que l'on aime qui meurt physiquement mais qui vivent dans nos
coeurs, son amour pour le Portugal, je suis née à Bayonne mais
mes deux parents avaient émigrés en France, son désir de
protéger Baptiste. Henri c'est son côté coup de gueule je suis
un peu comme lui, Cacahuète c'est véritablement mon chien, grâce
à Dieu, il vit toujours. Annette c'est son côté, je fais tout à
la maison avec mes soeurs. Baptiste c'est son côté attachant,
Louis son amour pour la littérature qui dépasse fortement celles
des autres, Hélène son côté j'aide les gens, j'aime les
gens...chaque enfant à un peu de ma personnalité ou celles
d'enfants qui m'entouraient.
Comme je l'ai écrit quand on ne s'occuper pas du
problème de l'enfance maltraitée, elle ne peut que se voir
reproduite. C'est très triste, mais même si je suis immensément
triste et très en colère contre les parents qui maltraitent
leurs enfants, je me sens coupable, nous sommes tous un peu
coupable...mais que faire, on vit une vie de plus en plus
difficile, de plus en plus individualiste, nombriliste... le fait
que Macron désire rendre l'école obligatoire à 3 ans, c'est la
meilleure mesure prise pour combattre cette fichue maltraitance,
on ne pourra jamais l'éradiquer, mais la diminuer, oui, on peut
la diminuer. La loi de 2007 qui vise à maintenir l'enfant
maltraité chez le parent, est mauvaise...s'il y avait
suffisamment de place et de moyens dans les structures d'accueil,
on pourrait mieux gérer le problème. je ne pense pas que nous
devions séparer les enfants de leurs parents sans en mesurer les
conséquences, mais l'éloignement dans un premier temps, me
paraît être, une bonne solution. des gens qui accompagneraient
la famille mais réellement, ça pourrait faire des miracles...
C'est certains oui ! J'éspère vraiment que notre étrange
gouvernement trouvera des fonds nécessaire, des aides pour ces
enfants.
Le jour où il suffira de comprendre que
l'enfance régit presque toute la vie d'un être humain, alors on
aura fait un grand pas. Je suis persuadée que l'on ne vient pas
au monde mauvais. A part les personnes qui naissent avec des
problèmes psychologiques lourds, les autres on en fait des gens
malades. comprendre le mal, c'est pourvoir le soigner.
Une dernière chose. Auriez-vous un petit mot pour vos lecteurs ?
De croire très fort que quand tout va mal, il faut garder espoir, il faut se battre, comme l'a si bien écrit Romain Gary et je me l'applique tout les jours, "Il faut connaître les limites du possible, pas pour s'arrêter, mais pour tenter l'impossible dans les meilleures conditions".
Je suis bien d'accord. Merci beaucoup d'avoir pris du temps
pour discuté avec moi. "Le Vœu" est vraiment un livre
magnifique est j'éspère qu'il touchera beaucoup, beaucoup de
monde. C'est un Vœu sublime, porteur d'espoir !
Merci à vous Marjorie. Je remercie beaucoup les éditions Vérone pour cet envoi de Service Presse. |
Bonjour Marjorie,
RépondreSupprimerAvec Arminda, nous avons partagé des dédicaces et j'ai découvert une personne passionnée, attachante, vibrante. Votre entretien est révélateur de son esprit,de son engagement et de son talent.
Ph.S