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lundi 16 octobre 2017

Les couloirs du temps

* Les couloirs du temps* de Nicolas Bourgoin

Synopsis :
Qui n’a jamais rêvé de remonter le temps afin de modifier le présent ?
En 2022, ce vieux rêve est désormais une réalité grâce à l’Éclair Argenté, une drogue qui permet aux agents de l’État de revenir dans le passé et d’arrêter les terroristes avant-même qu’ils ne commettent d’attentat. Dans ce monde urchonique, l’Histoire se retrouve totalement défigurée : les Soviétiques ont gagné la Troisième Guerre Mondiale, la Corée du Sud est le dernier bastion capitaliste.
Mais tout n’est pas perdu. Le camp des vaincus se procure le précieux sésame, et retourne à l’époque de la Seconde Guerre Mondiale. La victoire de l’Axe sur la Russie soviétique est alors à portée de main…

Mon avis :
Une lecture captivante, renversante et un peu complexe il faut vraiment faire le vide dans sa tête et se mettre totalement dedans  et même en faisant ça j’ai eu beaucoup de mal à ne pas perdre le fil du récit. Et c’est à la fin que j’ai compris pourquoi j’ai eu autant de difficulté et bien parce que ce livre et le numéro VI…toutes les choses qui m’échappé ce trouve dans les précèdent livres je pense ? Je vais me renseigner sur le sujet parce que du coup je reste mi-figue mi-raisin.
Il y a pas mal de personnages, qu’on retrouve à différentes époque et qui même parfois ne porte pas le même prénom si j’ai bien compris, il n’y a que les derniers chapitres qui ont étaient clairs parce que le récit ce concentre essentiellement sur un couple et leur enfant qui décide de s’échapper de la zone de parcage contrôler par les nazis car oui, se sont eux qui ont gagné la guerre et du coup les conséquences sont absolument catastrophiques, apocalyptiques même. Nous sommes plongé en plein Paris où les gens vivent dans la misère, il y a les zonards qui m’ont vraiment fichu la trouille, des images horrible sont entrés dans ma tête et j’ai bien eu du mal à les chasser ! Cette chronique sera un peu confuse mais parce que ce n’est pas très clair pour moi donc forcément cela va se ressentir, mais j’ai malgré tout voulu en rédiger une, car si jamais des lecteurs confirmés de Nicolas Bourgoin pourrait éclairer ma lanterne j’en serais ravie ! 


Merci aux éditions  Baudelaire pour cet envoi en Service Presse. 

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