* Les
couloirs du temps* de Nicolas Bourgoin
Synopsis :
Qui n’a
jamais rêvé de remonter le temps afin de modifier le présent ?
En 2022, ce
vieux rêve est désormais une réalité grâce à l’Éclair Argenté, une drogue qui
permet aux agents de l’État de revenir dans le passé et d’arrêter les
terroristes avant-même qu’ils ne commettent d’attentat. Dans ce monde urchonique,
l’Histoire se retrouve totalement défigurée : les Soviétiques ont gagné la
Troisième Guerre Mondiale, la Corée du Sud est le dernier bastion capitaliste.
Mais tout
n’est pas perdu. Le camp des vaincus se procure le précieux sésame, et retourne
à l’époque de la Seconde Guerre Mondiale. La victoire de l’Axe sur la Russie
soviétique est alors à portée de main…
Mon
avis :
Une lecture
captivante, renversante et un peu complexe il faut vraiment faire le vide
dans sa tête et se mettre totalement dedans
et même en faisant ça j’ai eu beaucoup de mal à ne pas perdre le fil du
récit. Et c’est à la fin que j’ai compris pourquoi j’ai eu autant de difficulté
et bien parce que ce livre et le numéro VI…toutes les choses qui m’échappé ce trouve
dans les précèdent livres je pense ? Je vais me renseigner sur le sujet
parce que du coup je reste mi-figue mi-raisin.
Il y a pas
mal de personnages, qu’on retrouve à différentes époque et qui même parfois ne
porte pas le même prénom si j’ai bien compris, il n’y a que les derniers
chapitres qui ont étaient clairs parce que le récit ce concentre
essentiellement sur un couple et leur enfant qui décide de s’échapper de la
zone de parcage contrôler par les nazis car oui, se sont eux qui ont gagné la
guerre et du coup les conséquences sont absolument catastrophiques,
apocalyptiques même. Nous sommes plongé en plein Paris où les gens vivent dans la
misère, il y a les zonards qui m’ont vraiment fichu la trouille, des images
horrible sont entrés dans ma tête et j’ai bien eu du mal à les chasser !
Cette chronique sera un peu confuse mais parce que ce n’est pas très clair pour
moi donc forcément cela va se ressentir, mais j’ai malgré tout voulu en rédiger
une, car si jamais des lecteurs confirmés de Nicolas Bourgoin pourrait éclairer
ma lanterne j’en serais ravie !
Merci aux
éditions Baudelaire pour cet envoi en
Service Presse.
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