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Synopsis :
« Il ne me força pas la main, ou plutôt la parole. Il entama la conversation et elle se poursuivit une heure durant sans que je ne m’en rende compte. Je ne voulais pas parler de l’incident des jours passés, je n’étais pas prête, c’était trop tôt. Moi-même, je ne comprenais pas ce qui était arrivé, il m’était impossible de mettre des mots dessus. Au cours de notre échange, je lui ai parlé de moi, de ma vie en général. J’avais l’impression de m’égarer, de mentionner des faits sans aucun rapport les uns avec les autres. Mais il parvint à tisser une toile sur laquelle il m’écrivait. »
Direction le sud-est de la France, où vit Francesca. Nous prenant à témoin dans un récit étonnant de justesse, elle se raconte sans pudeur à travers son quotidien, ses voyages riches de rencontres bouleversantes et ses réflexions sur la vie, sa vie… et peut-être un peu la nôtre, aussi.Mon avis :
Captivant, Emouvant et Poignant !
Ce livre est d'une beauté, d'une sensibilité et d'une énergie juste sublime ! Ecrit de manière stimulante et envoutante. Je suis totalement admirative de la plume délicate et piquante de cette jeune auteure qu'est Ada Raynal Vulpiani.
Honnêtement c'est (comme vous l'aurez compris avec mes émoticônes au dessus) , c'est un gros coup de cœur !
L'auteure nous offre ici une histoire, pas n'importe laquelle, non ! Celle d'une jeune femme Francesca, que le lecteur apprend a connaître d'une façon intime puisque il s'agit de son journal où elle nous raconte son enfance, son parcours, ses épreuves, ses nombreuses pensées et réflexions qui sont pertinentes et magnifiques ! cela nous conduit également à nous interroger un peu sur le sens, et la valeur de notre propre vie.
Fran qui est elle ? C'est une jeune femme ambitieuse, passionnée, brillante, et indépendante. Elle n'a absolument pas peur de faire des choix, même si certains sont parfois difficile, elle fonce, elle tranche dans le vif et se lance.
On découvre aussi ses parents, qui sont extrêmes aimants et présent pour elle, qui vont la soutenir quoiqu'elle fasse. Ils seront ses piliers, ainsi que ses amis, en particulier Madeleine qui deviendra son associés.
J'ai adoré aussi ses nombreuses descriptions des paysages, des couleurs, des saveurs. On voyage avec Fran, elle nous entraine avec elle et c'est tellement beau !
Ce livre vous ouvrira l'esprit, le cœur, vous apaisera aussi peut être, vous rassurera sur votre avenir, votre présent dont il faut profiter, croquer et pas seulement a moitié mais a pleine dent !
Comme l'auteure la si bien écrit : " La vie n'attends pas, elle est déjà là, alors vivez-là !"
J'ADORE !
Il y a une telle maturité a travers ces pages...J'ai vraiment dévoré ce roman du début à la fin !
LISEZ-LE ! Vous pouvez le trouver sur Amazon, sur le site des éditions du Panthéon également.
Un très grand bravo a cette jeune femme remplit de talent, je lui souhaite vraiment de réussir, de persévérer !
Petite info : Une interview de Ada viendra s'ajouter a la suite de cette chronique dans les jours à venir. Donc rester dans les parages chers mordus de lectures 📙
Merci aux éditions Panthéon pour cet envoi de Service Presse.
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Comme précédemment annoncé je vous invite GRANDEMENT à lire l'interview de la jeune Ada Raynal Vulpiani, auteure de talent ! N'hésitez pas a commenter ! Bonne découverte les amis 🌞
1 - Dis nous, raconte nous un peu ton parcours, en deux mots : Présente- toi
J’ai 22 ans, je vis chez mes parents dans la campagne lot-et-garonnaise. J’ai un Bac L avec mention AB. Je voulais étudier les sciences politiques mais je n’ai pas réussi le concours d’entrée. Je me suis donc rabattue sur le droit que j’ai étudié pendant 1 an à Bordeaux. C’était très instructif, j’ai acquis énormément de culture générale, mais je ne me voyais pas évoluer dans ce milieu. J’étais perdue, je me cherchais. J’ai alors pris une année sabbatique durant laquelle j’ai fais le point sur moi-même, mes centres d’intérêts, mes envies… Je me souviens qu’en classe de seconde je voulais étudier le journalisme, mais pour je ne sais quelle raison j’ai abandonné l’idée. J’ai fais plein de recherches sur les différentes formation autour de la communication, et je suis tombée sur l’EFAP, une école sur Bordeaux. Il y a un concours d’entrée que j’ai eu, sans me vanter, haut la main. J’ai découvert des matières telles que la pub ou le marketing, mais ce qui m’intéressait le plus était l’histoire de la presse. Cette année m’a confortée dans l’idée que ce qui est fait pour moi, c’est le journalisme. Après avoir validée mon année, je suis retournée vivre chez mes parents et j’ai décidé de suivre une formation à distance. Le 4 décembre 2017 pour être précise, j’ai reçu dans ma boite aux lettres mon diplôme de journaliste avec mention TB. Ah, et puis j’écris des livres aussi. Enfin un seul pour l’instant, mais je ne compte pas m’arrêter là !
2- L'écriture semble être une de tes passions, comment est né ton roman "Des mots pour une vie" ?
En effet, écrire me passionne mais plus largement la littérature. Aussi loin que je me souvienne, mes parents me lisaient des histoires et ma famille m’offrait des livres à Noel ou pour mon anniversaire. J’ai su lire très tôt, j’ai toujours eu dans ma chambre ce fameux meuble que j’ai encore, une étagère blanche, remplie de livres. Tous ne passent pas. J’aimerais bien retrouver mes livres d’enfants… J’ignore où mes parents ont pu les ranger. Ma mère m’a raconté qu’un été j’avais écris, mais que je trouvais ça « nul » et que j’avais tout déchiré. Je n’en garde aucun souvenir bizarrement…
Mon roman est né tout seul, aucune préparation ou planification. Je n’étais pas non plus le genre de fille ou d’ado à avoir un journal intime. J’aimais écrire, j’avais la plume facile, et rédiger 10 pages de dissertation en philo ne me faisait pas peur. Concernant mon roman, un soir je me suis posée devant mon ordinateur et j’ai tapé une phrase, puis deux, puis un paragraphe, et j’ai décidé d’enregistrer le document. Le lendemain, j’ai continué à taper pour que cela devienne un rendez-vous quotidien. Tous les soirs j’ouvrais le fichier et je continuais sans savoir où j’allais. Lorsque j’ai atteint la centième page, je me suis dis que je tenais peut-être quelque chose, que je pouvais en faire un roman. Je ne me suis arrêtée que lorsque j’estimais que l’histoire était finie.
3 - C'est une histoire bouleversante et remarquablement bien écrite ! J'aimerais savoir si, il y a des traits de ressemblances entre toi et Fran ?
C’est très gentil merci. Il s’agit d’un roman, d’une fiction, mais comme j’en suis l’auteure il y a forcément une part de moi partout. Je ne ressemble pas à Fran physiquement, ni dans son éducation. Je ne suis ni fille unique ni riche, mes parents ne sont pas divorcés et je n’ai pas son caractère. Néanmoins, elle aussi a fait du journalisme, elle aussi aime les voyages et la danse classique. Par contre elle raffole des fruits de mer, chose dont j’ai horreur ( rires ). J’ai voulu en faire une femme indépendante et forte, débrouillarde et assumée, et j’aimerais bien à l’inverse faire de mon personnage plus qu’une simple invention, en faire une source d’inspiration.
4- Quel moment est il propice a la création en ce qui te concerne ? As tu u ou des rituels, une mise en condition spécifique ?
Tout à fait. Vous connaissez ce mythe de l’écrivain un peu bizarre qui vit isolé au milieu de nulle part, qui parle seul à haute voix, qui gribouille partout, réajuste ses lunettes, a de l’encre sur les doigts, tape sur le clavier de sa machine à écrire, a la poubelle pleine de papier, oublie de manger ou d’aller aux toilettes quand l’inspiration le frappe, qui ne répond pas aux sollicitations extérieures ? Et bien ce n’est pas un mythe ni un cliché, en ce qui me concerne c’est tout à fait ça. J’ai besoin d’être seule, dans le silence, dans ma bulle. Certains arrivent à écrire dans des lieux publics, pas moi. J’ai écris « Des mots pour une vie » en m’enfermant dans ma chambre avec mon casque sur les oreilles. S’il y avait du bruit, je demandais à ce qu’ils en fassent moins. Ils n’étaient pas dérangeants à ce point, mais j’avais vraiment besoin de silence, de calme. C’est le soir que j’écrivais. C’est le moment où mon esprit est le plus propice pour cette tâche. Amélie Nothomb se lève à 4h du matin pour écrire, moi c’est l’heure à laquelle je pourrais me coucher. Si vous souhaitez me surprendre à l’oeuvre, c’est après 20h, enfermée dans ma chambre, complètement immergée dans ce que j’écris. Parfois il m’est arrivé de me réveiller en pleine nuit et de noter une idée dans un carnet, ou encore à 6h. Je me souviens que je continuais mon roman dans ma tête, comme pour me raconter une histoire et me rendormir. Au final, j’ai allumé mon ordinateur et j’ai tout tapé. Je ne choisis pas quand l’inspiration me frappe.
5 - Alors j'ai découvert pour mon plus grand plaisir, ton site adaraynalvulpiani. wordpress.com dans lequel tu rédiges des chroniques extrêmement variés et plaisant comme sur la cuisine ( qui semble être une passion pour toi aussi), les produits de beautés, des sujets d'actualités, la société de consommation...etc.
D'où te viens cette soif de curiosité ?
Ravie de lire que mon blog te plait. Disons que je suis quelqu’un qui s’intéresse à tout, à part peut-être aux mathématiques ( rires ). La médecine, les plantes, la mode, le maquillage, la psychologie, l’histoire, la sociologie, les arts, les voyages, les animaux, la cuisine… je lis des articles sur à peu prés tout. Je ne peux pas expliquer ma soif de curiosité, pour moi découvrir de nouvelles choses est indispensable. Chaque jour que je vis est une opportunité supplémentaire pour apprendre. Une fois j’ai lu un article parlant des universités qui donnaient des cours à des retraités. Pour quoi faire, ils ont pas besoin de diplôme direz-vous. Pourquoi apprendre devrait être synonyme de passer des examens, d’étudier pour avoir un travail même si ça ne nous plait pas ? La vie serait d’un ennui si l’on ne découvrait rien ! Il n’y a ni âge ni de raison pour vouloir apprendre. Mon blog est le reflet de ma personnalité, je m’y expose sans filtre et je ne m’impose rien. J’écris en fonction de mon humeur du moment, de ce dont j’ai envie de parler. Je ne fais pas semblant. Je ne me dis pas « tiens, c’est tel sujet qui récolte le plus de likes alors je vais le faire ». Non, si j’ai envie de parler de bulbes de tulipes ou du moteur d’une Audi R8 je le ferais. Ma curiosité me donne une raison de me lever tous les matins. Qu’est-ce-que la vie me réserve aujourd’hui ?
6- Parle nous un peu de tes autres loisirs, qu'aimes tu faire ?
La cuisine est ma seconde passion. Petite je préparais pleins de choses avec ma Nonna ( mamie en italien, je suis d’origine italienne ). J’avais un carnet de recettes, je regardais Cuisine TV. Je me souviens même regarder le fameux Jamie Oliver dans une émission. Je ne parlais pas anglais mais il y avait les sous-titres. Je regardais cette chaîne pendant des heures. J’inventais des recettes aussi, la soupe à l’ail ou des petits pains au Nutella. Je mélangeais un peu tout ce que je trouvais dans la cuisine et voilà. Je faisais même des potataoes à la poêle plutôt que dans un bain de friture avant que ça devienne « trendy » de manger moins gras. Je m’en fichais à l’époque, je voulais juste faire quelque chose de bon. Je préfère le sucré au salé, je suis donc plus branché pâtisserie. D’ailleurs si vous regardez sur mon blog il y a pas mal de recettes de desserts. J’en prépare minimum un part semaine. Cela me procure du plaisir et le mieux est de voir mes proches se régaler. Je suis rarement des recettes, la plupart du temps je fais au pifomètre niveau quantités et temps de cuisson. Il faut aussi savoir que je ne goûte rien. Je me fie à l’odorat et à mon 6ème sens. Pourquoi pas écrire un livre de recettes un jours ? Cela conjuguerait mes deux passions que sont la littérature et la pâtisserie.
Sinon, je suis une férue de yoga. J’en pratique tous les jours. Cette discipline me déconnecte à mon corps, et je crois aux chakras, au lien corps / esprit, à la naturopathie, à la méditation, la respiration… la philosophie bouddhiste est celle qui me correspond le plus.
7- Quelle est ta priorité dans ton quotidien ?
Être heureuse. Ce n’est pas bateau comme réponse. Le bonheur peut se vivre au quotidien, même une seconde. C’est un sentiment, une émotion. Comme la tristesse, il est éphémère. Les choses passent, mais elles existent. Tous les jours j’écris mes moments de gratitude et je me rends compte que je peux me satisfaire de beaucoup. Entendre les oiseaux, avoir du chauffage quand des SDF meurent de froid, sentir les rayons du soleil à travers la fenêtre… Ce sont des petits instants que je chéris et qui me rendent heureuse.
8- Y'a t-il un mot que tu aimes particulièrement ?
« Magnifique ». J’aime sa sonorité et sa signification : « Qui a une beauté pleine de grandeur ; somptueux, grandiose; Qui est extrêmement beau ; superbe, splendide; Qui est extrêmement bon, d'une qualité exceptionnelle; Qui est extrêmement bien, qui est remarquable, qui suscite l'admiration, la joie, le contentement ; formidable ».
9- As tu un porte bonheur ?
J’ai 4 bagues que je porte au quotidien ainsi qu’un collier avec 3 pendentifs. Si je ne les aient pas sur moi, je me sens nue. Je les ôtes seulement lorsque je me lave, et les bagues aussi lors du coucher. Les pendentifs ont une valeur sentimentale et symbolique. Les bagues sont en pierre et je crois en leur énergie. Je ne sais pas si on peut appeler cette parure un porte bonheur, mais elle fait partie de moi, me rassure. Je me dis que l’améthyste sur ma bague par exemple m’apaise, ou bien je touche un pendentif et je pense à la personne qui me l’a offert, ce qui m’émeut et me fait me sentir aimée. Alors disons que pour moi le bonheur n’est possible qu’avec de l’amour, qu’il vienne d’autrui ou de nous-même. L’amour de sa famille, de ses amis, l’amour propre, l’amour de ses lecteurs en l’occurence. Je suis naïvement amoureuse de l’amour. Naïvement mais pas vainement. J’aime ma vie malgré toutes les difficultés qu’elle me fait connaître ( mon anorexie par exemple).
10 - Question qui viens de me venir là toute suite, une en plus, combien possède tu de petits carnets d'écriture ?
Oula, attends que je compte…12 ! Et le treizième que je viens bientôt entamer. Mes préférés sont les Paper Blanks, les couvertures sont sublimes et le papier de grande qualité. Ah non, j’en ai 14 ! Mes parents m’en ont offert un Montblanc mais il est tellement précieux à mes yeux que je n’ose pas écrire dedans.
11 - Un petit mot pour tes lecteurs, et tes futurs lecteurs ?
Je vous aimes ! Ça peut paraître niais mais c’est vrai. Sans vous, je ne suis rien. J’écris pour mon plaisir certes; mais si j’ai décidé d’être publiée c’est pour partager ce que je créée avec un public, sinon j’aurais tout gardé privé. Être auteur c’est être lu. Se mettre à nu face à des gens, se dévoiler, même au travers de la fiction. Je me livre à vous, sans fard, en espérant que mes mots susciteront en vous émotions et sentiments. Je ne prétend pas être talentueuse au point de bouleverser des vies, mais ces mots pour une vie sont les miens, authentiques et purs, spontanés et plein d’espoir. Si en fermant mon livre vous ressentez quelque chose, que vous vous êtes questionnés ou qu’il vous a fait réfléchir, qu’il vous a un tant soit peu ému, alors j’aurai réussi mon travail. Je sais quels messages j’ai voulu faire passer, ce que j’ai voulu dire. Mais se faire comprendre est plus délicat. L’interprétation est subjective, je le sais, mais certains passages se veulent universels dans le sens où ils touchent des sujets ou décrivent des situations que nous connaissons tous de notre point de vue. Je prie pour être lue par de nombreuses personnes car c’est là le but de ma démarche de publication. Je ne fais pas de la pub pour vendre une boisson ou un vêtement. Ce n’est pas du markéting pur et dur. Ce que je vends, c’est moi, mes pensées, mes doutes, mon âme. Mais pitié ne me jugez pas. Je m’en remets à vous, à votre humanité. La littérature est magique, elle transporte et emporte, elle envoûte. Faisons ce voyage ensemble !
J'aimerais si tu es d'accord accompagné cette interview avec une photo de toi, ou d'une image qui est symbolique pour toi ?!
Si c'est une image ce sera ma 12iéme question : Pourquoi cette image ?
Me voici me voilà ! Un petit selfie avec un filtre rempli de coeurs ! Je ne suis pas narcissique au point de mitrailler mon visage de photos, en vérité je ne suis pas du tout à l’aise. Mais j’aime cette photo déjà car je ne me trouve pas laide, pour changer, et car ces coeurs vous sont adressés, à vous qui lisez cette interview, vous qui lisez mon livre, mais aussi des coeurs envers moi-même car être fière de ce que j’ai accompli n’est pas une honte. Je suis loin de connaître un succès fulgurant mais à 22 ans j’ai publié mon premier roman, mon rêve s’est réalisé. Cela a été dur, gérer mon anorexie me gâche la vie, disons le. J’ai connu des périodes de déprime et de désespoir, j’étais perdue. Mais grâce au soutien de mes proches et en puisant au fin fond de mes ressources, je suis parvenue à mener à bien ce projet. Comme quoi, il ne faut jamais abandonner et toujours croire en ses rêves. Ces coeurs sont aussi pour cette vie qui malgré toutes ses galères me plaît, cette vie éphémère et précieuse. Ces coeurs sont aussi pour l’avenir, que j’espère plein d’amour. Une ode à la vie, voici le message que j’aimerai faire passer à travers cet entretien, mais aussi à travers mon roman et cette photo. De l’amour, c’est tout ce dont j’ai besoin.
Un grand MERCI à toi, Ada d'avoir bien voulue répondre a mes petites questions !
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